Après le pique-nique au soleil sur la plage du Lédenez, nous avons aidé la brebis à rentrer sur l'île avec ses agneaux : elle n'avait pas osé traverser avec les autres avant hier.
Et voilà, tout le monde est rentré sur l'île :
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Après le pique-nique au soleil sur la plage du Lédenez, nous avons aidé la brebis à rentrer sur l'île avec ses agneaux : elle n'avait pas osé traverser avec les autres avant hier.
Et voilà, tout le monde est rentré sur l'île :
No comment.
Voici deux sites qu'il faut absolument que vous visitiez :
- Vous avez découvert Fred dans le reportage de Thalassa sur le tournage du film Les seigneurs à Molène ; il est marin-pêcheur et organise aussi des balades en bateau pour découvrir l'archipel. Visitez son nouveau site Internet et préparez votre prochain séjour dans l'archipel : http://www.promenade-mer-iroise.fr/
- Pour ceux qui sont en manque de saucisses de Molène, sachez que vous pouvez désormais les commander directement sur le site internet d'Harold : www.fumaisonsdiroise.fr
Pas de panique, c'était voulu !
Cela fait quelques jours que l'on se dit qu'il serait temps que l'on rapatrie les mouts sur l'île, pour pouvoir surveiller les naissances et castrer les petits mâles au plus vite... Ce matin Chloé et David sont allés au Lédenez pour voir si tout le monde allait bien, et il y avait déjà deux agneaux ! Du coup, ils ont ramené le troupeau sur l'île :
C'était plus facile qu'à l'aller !!!
C'est notre mémère à la patte folle qui a agnelé en première. On l'appelle "patte folle" parce qu'elle s'est luxée la hanche l'an dernier, et depuis elle n'a jamais remarché normalement. Elle a eu un blanc et un noir, mais on n'a pas encore pu voir si c'étaient des filles ou des garçons. Il faut d'abord que l'on arrive à les attraper, et comme ils doivent déjà avoir deux ou trois jours, ils courrent déjà bien !
Qui sera la suivante ? Pas moi, il me reste 46 jours (oui, j'en suis à compter les jours... j'ai hâte de revoir mes pieds !) ; par contre, je parierais bien sur oreilles cassées qui a l'air encore plus mal à l'aise que moi !
Une nouvelle chronique à propos de Quéménès est diffusée sur la radio Fréquence terre.
Vous pouvez lire et écouter la chronique en cliquant ici : http://www.frequenceterre.com/chroniques-environnement-090112-2765-Iles-de-reve.html
C'est intéressant, dommage que le texte soit bourré de fautes d'orthographe et que le journaliste n'ait même pas pris la peine de vérifier ses informations avant de publier sa chronique ; quand je lis : "A Quéménès il n'y a pas d'électricité alors David et Soizic installe une éolienne et des panneaux solaires. Pour l'eau potable, on récupère l'eau de mer et on se lave à l'eau de pluie.", ça me hérisse un peu le poil.
Non, ce ne sont pas David et Soizic qui ont installé l'éolienne et les panneaux solaires, mais le propriétaire de l'île, à savoir le Conservatoire du Littoral avec le concours financier de nombreux partenaires dont l'Europe. Nous deux, tous seuls, nous n'avons ni les compétences techniques, ni les ressources financières pour effectuer cette installation.
Pour l'eau potable, on n'a jamais dit que l'on "récupérait l'eau de mer" (ça ne doit pas être terrible dans le pastis) : Nous récupérons l'eau de pluie et avons aussi un puits qui nous permet de faire face aux périodes sèches ; en raccourcissant un peu, effectivement "on se lave à l'eau de pluie", mais elle est chauffée quand même, l'eau de pluie, on n'est pas des bêtes...
Mesdames et Messieurs les journalistes, merci, lorsque vous parlez de nous, de ne pas vous fier uniquement au travail de vos collègues mais de nous passer un petit coup de fil (06 63 02 15 08) ou un mail (info@iledequemenes.fr) pour que l'on puisse vérifier ensemble vos informations. Ça ne mange pas de pain, et ça vous évitera de passer pour des andouilles.
Et si vous n'êtes pas bons en orthographe : FAITES RELIRE PAR QUELQU'UN D'AUTRE, plutôt que de nous torturer de la sorte.
PS : Ma préférée quand même dans l'article, c'est " Paris réussi." Je la trouve superbe.
Belle remontée pour Soizic Cuisnier. La jeune femme qui gère avec son mari la ferme auberge de l'îlot de Quéménès est maintenant 3e de notre sondage sur la personnalité 2011 du pays de Brest. Elle reste cependant à 1000 voix des seconds, les Sobrena, eux-mêmes devancés par Bruno Grougi, milieu de terrain du Stade brestois. Le vote sera clos à 20 h ce soir.
Consulter la présentation des douze nominés et voter. "
Merci à tous d'avoir participé à cette belle remontée !
A bientôt,
Soizic et David.
Connaissez-vous le Mail Art, ou Art Postal en Français ?
C'est l'art d'envoyer par la poste une œuvre "à découvert", c'est à dire que c'est l’œuvre elle même qui est oblitérée et qui comporte l'adresse du destinataire et le timbre (cliquez ici pour lire la page Wikipédia du Mail Art, on y apprend plein de choses : page wiki Mail ARt).
Ivan Sigg nous avait fait découvrir cette technique lors de son séjour à la maison d'hôtes en 2008 (déjà !!!), et nous avons eu l'occasion de ré-aborder ce sujet avec Michel, un autre Mail Artiste, lors de son séjour sur l'île l'an dernier.
C'est toujours un superbe cadeau que de recevoir un Mail Art, alors quand Michel nous a proposé de lancer un appel à Mail Art sur le blogue, nous avons été enchantés !
Concrètement, voilà en quoi cet appel consiste :
Que vous soyez novice en Mail Art ou expert, tout le monde peut participer !
Le principe est de nous envoyer votre "carte postale" sur le thème :
Mon île, un rêve ?
à l'adresse suivante :
Soizic & David (Mon île, un rêve ?)
Ferme insulaire de Quéménès
29259 Archipel de Molène
Adresse et timbre au recto, vos coordonnées au verso.
--->> Surtout, vous devez faire oblitérer votre oeuvre, et non pas la glisser dans une enveloppe !
L'adresse et le timbre peuvent être intégrés dans votre composition, et vous pouvez utiliser toutes les techniques que vous souhaitez pour la réaliser : Peinture, collage, photo, dessin... L'important est de vous amuser en n'hésitant pas à détourner des objets (du bois, des plumes, des coquillages du tissus... tant que cela peut être envoyé par la poste, vous pouvez laisser libre cour à votre imagination !).
Et toutes les œuvres auront un point commun : elles seront oblitérées depuis leur lieu d’expédition !
Ce sera un peu comme si vous veniez tous à Quéménès ! (Un petite île déserte qu'ils disaient...)
Règlement :
Voilà, l'appel est lancé, j'espère que cela vous donnera des idées et que vous allez nous faire voyager !
(Grand-mère : voilà une belle activité à faire avec tes petits amours cet été !)
C'est que ça limite les travaux de printemps :
La porte du puits a tellement été décapée par la pluie et le vent de la dernière tempête, que l'on aura même pas besoin de la poncer quand il faudra la repeindre !
La Brittany Ferries lance une nouvelle ligne : « A la rencontre des moutons de Quéménès » :
Ça n'a pas l'air de les émouvoir beaucoup, nos mouts...
NDLR : Depuis que le Chenal du Four (entre l'archipel de Molène et le continent) a été rouvert aux navires à passagers, les ferries passent au bout du jardin.
Ah, voilà Choupette qui vous montre un goéland ; il faut dire : « Ooooooh, le gros goéland... »
Sinon, si vous n'avez toujours pas voté pour la personnalité du pays de Brest 2011, vous avez jusqu'à Dimanche 20h pour le faire sur le site du journal Ouest-France. Pour accéder au vote, vous pouvez cliquer ici : voter pour la personnalité de l'année (on est à 50 voix du podium!)
Oh ce que j'aurais aimé pouvoir vous faire partager les odeurs de l'île ces derniers jours... Vous auriez certainement perdu quelques amis parmi vos collègues de bureau, mais bon, ils n'ont qu'à lire le blogue aussi...
Donc depuis deux jours, David étale le goémon que l'on a fait pourrir dans les champs pour nourrir la terre.
Ca fouette sur le caillou...
Mais c'est pour la bonne cause, c'est pour avoir de bonnes patates les prochaines années.
Sortez les sentorettes : voilà David qui va passer la herse sur un tas de goémon en décomposition :
Eurk, c'est immonde.
Attention, je vous fais un gros plan (bouchez vous les narines, l'odeur va être plus forte) :
C'est écœurant, hein ? Pourtant, ça fait quand même des heureux dans la basse-cour :
Quand je pense que l'on en a mangé un à Noël et qu'on l'a trouvé bon, je ne sais pas si le prochain qui passera à la casserole je l'apprécierai autant après avoir vu ce dont il se nourrissait !!!