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  • Tomates -1-

    David a commencé le nettoyage d'une ruine afin de pouvoir y faire pousser des tomates à l'abri du sel et du vent. Voici leur petit nid :

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  • Le potager de Mme TASSIN

    Nous vous en avions parlé la dernière fois, voici quelques photos :

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  • Passe de la chimère, un moine à l'île de Quéménès

    5e71c51e013d4228b30db2f54e3de7df.jpgDe l’autre,  Jean-Yves QUELLEC, moine bénédictin en Belgique qui nous fait part de son journal lors d’une retraite de trois semaines sur l’île en septembre 2005 : « - Vendredi 9 septembre - Ce qui me manque ici : pour le moment, rien. Ni les journaux, ni la télévision, ni Internet, ni la bibliothèque. La musique ? Les éléments, les animaux m’offrent leurs variations. La beauté ? Elle m’éclabousse. J’ai seulement craint d’être à court de bougies. La semaine prochaine, j’en recevrai du continent. Toujours manque un visage, mais pas seulement ici. Et ce n’est pas un objet dont on a l’usage. Le visage ne se possède pas. – Je ne parviens pas à éprouver de la répulsion pour ces pauvres cloportes qui se laissent tomber du plafond, se font griller sur la gazinière ou s’agglutinent sous une assiette. De loin, ils sont insignifiants ; à distance moyenne, légèrement dégoûtants ; de près, ils méritent qu’on s’y intéresse. Ils ont de belles gambettes. » « Passe de la chimère, un moine à l’île de Quéménès », Jean-Yves Quellec, Cahiers de Clerlande

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  • Un bout de vie ... sur l'île de Quéménès

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    D’un côté, Marie-thérèse Darcque-Tassin, fille de l’ancien propriétaire de l’île, qui nous raconte son enfance ilienne dans  « Un bout de vie … sur l’île de Quéménès » aux éditions la Découvrance.

    En voici un extrait : « Tant que mon père était locataire de l'île, il exploitait le goémon comme ses prédécesseurs. Il développa les cultures et l'élevage lorsque les ouvriers goémoniers partirent un à un. Il acheta l'île en 1960 avec l'idée de produire pour exporter sur le continent et plus seulement pour nourrir sa famille. D'ailleurs nous n'étions pas nombreux. J'eus une soeur aînée et deux frères plus jeunes. Je n'oublie pas la « bonne », Soize. Nous étions donc, avec mes parents, une petite colonie de sept personnes à laquelle venaient s'ajouter de temps à autres trois quatre copains de mon père venus l'aider. Dans le temps la ferme produisait suffisamment pour une trentaine d'hommes s'échinant toujours dehors. Et encore, ses terres n'étaient pas travaillées comme elles auraient dû l'être. Le pari de mon père était donc parfaitement réalisable... »

     

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  • Les toilettes sèches

    Comme nous avons des ressources en eau limitées, nous avons fait le choix de toilettes sèches. Peu de gens connaissent ce système et pourtant, nous sommes prêts à parier que d'ici quelques années, nous l'utiliserons tous couramment. Pour vous expliquer comment cela fonctionne, voici un extrait de« La toilette sèche : une question de cohérence écrit par Joseph ORSZGH. Si vous souhaitez lire ce document en entier, vous pouvez le télécharger sur :

    http://dl.free.fr/hMOfeQGo/toilettess%C3%A8ches.rtf

      Avec des investissements dérisoires, nous sommes arrivés à l'autonomie hydrique complète avec une pollution nulle des eaux souterraines et des eaux de surface. Nous sommes évidemment loin de notre seau hygiénique qui sentait mauvais et n'était acceptable que pour quelques mordus  pour l' environnement. Actuellement, avec plus de six cent (et le nombre augmente tous les jours) familles en Belgique et en France (juin 2003), nous partageons notre expérience concernant l' usage de la toilette sèche que nous avons baptisée toilette à litière bio maîtrisée (TLB). Avis aux amateurs d' exercices linguistiques pour lui trouver un nom plus adapté ! La TLB est le résultat d'une observation fortuite, expliquée scientifiquement plus tard. En ajoutant de la sciure de bois ou des copeaux à nos déjections (urine + matière fécale), l'odeur désagréable disparaît complètement.

    Cette toilette se présente en fait comme une caisse sans fond, contenant un seau en plastique ou mieux, en acier inoxydable et dont la planche supérieure (basculante) est percée d' une ouverture sur laquelle on a fixé un abattant de W-C classique. Des familles qui n' avaient pas envisagé l' usage d' une toilette sèche l' ont adoptée sans problèmes et sur plus de six cent, après plusieurs mois ou années d' expérience, à notre connaissance, deux familles en ont abandonné l' usage. Côté odeur, pas de problème. La contrainte de ce système est l' obligation de vider le seau (nous conseillons une capacité de 15 à 20 litres) sur le carré à compost du jardin quand il est rempli. 

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    Nos toilettes

     

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  • Le club piou piou

    Les poussins grossissent vite ; nous les emmèneront sur l'île le week end prochain :

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  • Une charrue sachant charruer

    David a continué de charruer les parcelles qui sont autour de la ferme :

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    La photo a été pride de l'une des chambres du gîte ...

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  • Premiers traits de charrue

    Nous avons attelée, non sans peines, la charrue au Massey Ferguson et voici nos premiers traits :

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  • Le potager de Mme TASSIN

    Nous avons nettoyé l’ancien potager de madame Tassin et nous y avons retrouvé des pieds d’artichauts qu’elle faisait pousser il y a 30 ans !

     

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  • Première douche sur l'île

    Afin de rester présentables aux yeux et aux nez de notre équipe journalistique, nous avions prévu une petite séance d’ablutions ; cela semble aisé lorsque l’on est sur le continent, mais demande toute une réflexion et une préparation quand on n’a ni eau courante ni électricité. Nous avons donc opté pour un chauffage solaire habilement confectionné avec des bidons d’eau de 5 litres entourés d’un sac poubelle noir ; le choix du moment le plus propice fût également longuement réfléchi et finalement porté pour le mercredi à 16 heures, afin de pouvoir profiter encore de la chaleur du soleil sur la terrasse de notre maison. C’était sans compter sur l’arrivée de nos voisins qui reporta donc notre séance à 17 heures. Heure à laquelle le soleil chauffe beaucoup moins, comme chacun sait. Ce fût néanmoins très agréable, bien que frais, et nos hôtes ont apprécié l’attention.

    NB : en avril, le soleil n’arrive pas à chauffer un bidon de 5 litres d’eau, même astucieusement placé dans un sac noir.

     

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