Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • La suite de mes essais au Pioka

    Nous récoltons depuis cette année une petite algue rouge : le Chondrus Crispus. Cette petite algue a le pouvoir de gélifier le lait simplement en l'y faisant infuser quelques minutes ; cela ouvre plein de possibilités culinaires et après mes essais de flan coco-framboises, j'ai testé hier soir le flanby© maison au Pioka.

    IMG_2740.jpg

    Pour 10 Flanby© maison au Pioka

    Pour le flan :

    • 1 litre de lait de vache
    • 100g de sucre
    • 25g de pioka sec
    • 1/2 cuillère à café de vanille en poudre

    Pour le caramel : 

    • 80g de sucre en poudre
    • 10cl de crème liquide
    • 40g de beurre salé
    • 3 pincée de sel

    Préparation :

    - La veille : Rincez abondamment le pioka sous l'eau, versez le lait dans une grande casserole, ajouter le sucre, la vanille et le pioka et mettre à chauffer. Quand ça commence à frémir, comptez 15 minutes de cuisson. Passez le préparation au chinois pour ôter les morceaux de Pioka et remplissez les ramequins de service au 2/3 avec la préparation. Réservez au frigo.

    - le jour même : Sortez les ramequins, le flan est maintenant bien pris, et préparez le caramel. Mettez le sucre dans une casserole et faites chauffer jusqu'à ce que le sucre se soit transformé en un sirop brun. Ôtez du feu, et ajoutez doucement la crème liquide bien chaude en remuant. Attention aux projections ! Ajoutez le beurre, et remettez doucement sur le feu pour faire fondre les derniers morceaux de caramel. Ajoutez le sel, vous devez obtenir un joli sirop brun. Répartissez rapidement le caramel sur les flans et laissez refroidir à température ambiante.

     

    Et voilà vos flanby maison ! Il n'y a plus qu'à trouver comment mettre une languette au fond des ramequins. La seule étape un peu compliquée de la recette, c'est la préparation du caramel. C'est la première fois que j'en faisais un, et je dois avouer que j'ai eu quelque doutes parce que j'avais un beau morceau de caramel qui flottait au milieu de ma crème fraîche... Pas vraiment ce que j'attendais comme résultat ! En fait, la crème doit être vraiment bien chaude quand on la verse sur le sirop, mais si on loupe son coup, on peut toujours remettre à chauffer en remuant énergiquement pour faire fondre le caramel dans la crème.

    Le Pioka sera bientôt disponible sur la boutique en ligne ; pour l'instant nous faisons un grand ménage de printemps pour vous proposer une boutique plus claire et plus facile à utiliser (vous pourrez même régler par Paypal !). Je vous préviens dès que c'est prêt.

    Lien permanent Ecrire un commentaire 0 commentaire

  • Quéménès avec vous pendant les vacances

    Pour emmener Quéménès en vacances avec vous cet été, vous avez deux possibilités :

    1) un peu de lecture :

    Dans le numéro de XXI qui est sorti ce mois, Lucile et Gaspard publient une partie de leur travail de rencontre d'une nouvelle génération de paysans : ceux qui ne sont pas issus du milieu agricole.

    XXI31-Nouveaux-paysans-ok.jpg

     

    (Il y a même le ballon de Wee Jacob sur l'illustration !)

     

    Même si les grands-parents de David étaient agriculteurs, après nos débuts dans le commerce et l'éducation à l'environnement nous faisons partie de ces nouveaux paysans. Lucile et Gaspard nous offrent une place d'honneur dans leur très joli reportage, et nous attendons avec impatience la sortie de leur livre. Découvrez un extrait du reportage et l'histoire de Lucile et Gaspard ici : http://www.revue21.fr/tous_les_numeros#n-31_les-nouveaux-paysans, et pour commander cette très belle revue : http://www.revue21-6mois-boutique.fr/index.php?id_product=108&controller=product&id_lang=2

    2) un peu de gourmandise :

    En ce moment, au restaurant du chantier ostréicole de Prat-Ar-Coum, sur les rives de l'Aber Benoît, dégustez un délicieux homard cuit à la vapeur accompagné de tartare d'algues fraîches de Quéménès : 

    IMG_2741.jpg

    (mais ce ne sont pas des patates de Quéménès !)

    Le restaurant a les pieds dans l'eau puisque vous êtes sur le chantier ostréicole de la famille Madec, et offre de magnifiques couchers de soleil. Vous découvrirez également les huîtres plates et creuses élevées sur place ainsi que langoustes et langoustines servis directement du vivier à l'assiette.

    www.prat-ar-coum.fr, Ouvert midi et soir du lundi soir au samedi soir du 1er juillet au 30 août, Réservations : 02 98 04 00 12.

    Lien permanent Ecrire un commentaire 1 commentaire