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Pouicoduc

Aqueduc : n.m. Canal d'aduction d'eau, aérien ou souterrain.

Gazoduc : n.m. Canalisation destinée au transport à longue distance du gaz.

Oléoduc : n.m. Pipeline servant au transport du pétrole brut.

Pouicoduc : genre pas tout à fait défini à ce jour. Aménagement d'un muret permettant aux pouicos* de la ferme de rejoindre la phyto-épuration sans faire tout le tour du bâtiment. Parce que lorsque l'on a le cerveau de la taille d'un petit pois, on a du mal à comprendre que de l'autre côté du mur, il y a plein d'eau pour s'abreuver et se laver...

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Sid, le coq : "Alors, les filles, je ne vous avais pas dit que l'on serait bien ici ?"

les poulettes : "tu as raison, Sid ; il y a plein de bons escargots, des cloportes et même une baignoire. C'est vraiment chouette ici."

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Sur ce, arrive grosse poupoule rousse. La seule qui avait compris qu'en faisant le tour de l'écurie, on pouvait atteindre ce jardin d'Eden.

GPR (Grosse Poupoule Rousse) : "Tiens, c'est nouveau ici ! Oh, on arrive au jardin ...C'est donc ça qu'il faisait le fermier hier ..."

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GPR : "oh ben mince alors, c'est quoi tout ce peuple ! Oh non, il y a ce vantard de Sid avec son harem... Si c'est ça, moi je m'en vais."

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*Pouicos : volatile palmipède au caractère bien trempé, habitant l'île de Quéménès et ayant pour régime alimentaire escargots, cloportes et mollets de touristes. Espèce similaire : Pouicos de cirque.

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Commentaires

  • Cot cot .... excellent cette histoire de poules !

  • Ah, le cirque Quéménès...

  • quelle est la différence entre une poule et un chapon?
    et ben, une poule cha pond
    et un chapon cha pond pas!

  • Hello Soizic, bon, comme quoi, il fait bon vivre sur Quemenes et meme les Pouicos (muchachos ou pas) ont leur confort.
    Que vos poulettes aient le caractere bien trempe ne m'etonne pas, elles ont du se prendre quelques tempetes oceanes dans les plumes (bon, OK, elle est facile celle-la...) !!
    Entre autres la chanson "Poulailler's song" de Alain Souchain (GPR va adorer !!) et celle de la petite poule brune qui allait pondre dans la lune, votre histoire m'a fait pense a une autre histoire de Pouicos pas tombes de la derniere pluie : si vous avez un moment dans l'hier, je vous recommande le dessin anime "Chicken Run" (meme en Francais !!), c'est bien marrant a voir et on n'entends plus sa basse cours de la meme facon apres...
    Bonne journee a vous et a bientot !!

  • Cadoduc : n.m. Conduit vertical souvent enfumé, emprunté une fois l'an par un vieux barbu pour l'acheminement de paquets divers et variés destinés aux enfants sages (ou pas).
    J - 4 : astiquez vos souliers !!!
    Joyeux Noël aux iliens et aux blogueurs !

  • Il venait de s’installer au pied du muret, son muret, à l’est de l’île. Il y avait façonné son assise, tournée au couchant, lui offrant la vue magnifique sur les bâtis sobres et nets, puis plus loin sur Ouessant et au-delà …les amériques. Le temps s’accordait au calendrier, un douze juin ensoleillé, lumineux en ce début d’après-midi, d’une chaleur propice à toutes les envolées de l’esprit. Il repensa à ces six jours passés sur cette île, loin des modernités, auprès de ces présences animales en communion de regards. Il était triste, il repartait le lendemain, et pourtant, il se sentait bien. Bien, quatre lettres toutes simples, qui disent tout. L’homme somnolait, sommeillait … puis s’endormit.
    Il se réveilla quelque temps plus tard, prit son carnet, celui qui ne le quitte jamais, et y coucha ses pensées, celles qui venaient d’habiter son sommeil.
    Grand Pierre a retrouvé ces écrits, il vous les livre dans ce blogue, sorte de cadeau d’un Pierre Noel d’un autre univers … Voilà donc

    L’ESTRAN et LA FIEVRE ANIMALE

    - NON ! ce n’est pas possible !
    - … mmmmh ?
    - Il faut réagir, tenir de main ferme cette dérive qui nous guette, comme je dirige notre C’hrommig!
    - Que se passe-t-il donc Sire, un souci ?
    - la ferme !
    - Je vous en prie mon ami, vous êtes mon roi ! traitez moi en reine !
    - la ferme !
    - encore ! … moins fort Sire, Miss Chloé, notre princesse, risque de se mettre en éveil … mais quel est donc le sujet qui vous transporte en une telle ire au point de me lancer d’aussi laides injonctions ?
    - pardonnez-moi, ma reine … je ne criais pas « la ferme » à votre intention, mais en pensant à cette exploitation dont nous avons la charge et qui a décidé de me mettre en peine …
    - … je ne vois pas … avez-vous des soucis de technicité ? … Est-ce votre appareil, celui qui se joue d’Eole, qui ne tourne pas rond ? Ou bien vos panneaux de Mr Volta qui se gondolent ? … Où alors, votre – comment l’appelez-vous ? – Ah oui ! John, votre gros John renâclerait-t-il à vos ordres de démarrage … Ou bien … non … ce n’est guère entendable, ne me dites pas Sire que vos batteries seraient à plat… pas vous quand même … pas vous, mon Hercule !
    - Mais non, il ne s’agit en aucun cas de l’une de ces causes se révolta le sire assis sur son seyant séant en poursuivant : Ma mie, approchez vous en éthologie de notre gent animale… Ne vous intrigue-t-elle pas ? … N’oyez vous donc aucun signe préoccupant !
    - …
    - un songe malin s’est emparé de mon sommeil …

    La reine, levant un œil candide et tendre sur son époux, s’aperçut que la situation portait le roi, son roi, vers un émoi peu habituel …

    - Décrivez-moi donc ce qui trouble ainsi votre repos Sire …
    - Toutes ! m’entendez-vous, toutes ces créatures de notre cour basse auxquelles s’étaient joints les porteurs de laine - qui, comme vous le savez, ne sont jamais les derniers à nous jouer farces … - toute cette gent animale s’était liguée face à notre royauté !
    - Mais … soyez plus précis … comment se comportaient nos gentilles bêtes?
    - Gentilles … gentilles … elles formaient une longue file sur le chemin menant à la cale, partant de nos résidences… En premier se pavanaient vos oies, Didis en tête, arborant crânement leurs messages en dandinant du croupion. Chaque gorge retenait une ardoise … on pouvait déchiffrer : « La mère l’oie ne s’en laissera plus conter ! », « On ne sera pas des bernaches », « L’oie blanche ne bossera jamais au noir », « un jour l’oie fera loi », « Les oies veulent de la musique ! » … Venaient ensuite les ovidés – ou les moutounoux – comme vous les appelez, ma reine – les béliers, les brebis, les agneaux en un alignement impeccable et peu habituel affichant des panneaux sur leur flancs « Marre de se laisser tondre ! », « On est des moutons, pas des bêtes ! », « les agneaux veulent s’éclater », « On veut des nouvelles de Perceval ! », « Y en a que pour les patates ! », « Les ovins s’ennuient » … Les poules, menées dune aile ferme – mais adroite – par Bernadette essayaient de suivre le cortège, bien encadrées par Ch’nord, Doust et Paulette. Les coqs quant à eux, en amont de ces poulettes, ergotaient sur les derniers décrets royaux visant à tromper leur cour au moyen d’œufs en plâtre… Chacun se souvenait avec émotion de l’un d’entre eux, malheureusement disparu, Fil qui en poussant quelques vocalises, s’imaginait atteindre la notoriété d’un Caruso, et avec ses droits d’auteur passer du temps aux barbades, au cap vert ou aux caraïbes .. Bref, celui que les poupoules de l’époque imaginaient en radieux Fil amant, rêvait de vivre de beaux instants de Fil en tropiques ! Le pauvre ne se doutait pas qu’une reine mère le cuisinerait quelques mois plus tard en grande casserole ! C’est vous dire si ces volailles s’attachaient en musique … quant aux palmipèdes , leurs becs jaunes affichaient des messages clairs et sans détour « assez de canardage ! », « Quéménès mérite son festival ! » ( de canes, bien sûr !), « les canes veulent vivre, pas caner ! » … L’une d’entre elles, Gudule, une grosse cane blanche – elle souffrait d’une cécité native–, un peu boîteuse, ne se doutait pas qu’elle serait, à l’instar de Fil, retrouvée quelques mois plus tard sans vie. Je ne vous parle pas, ma chère, des pintades se montant du col depuis leur apparition photogénique dans un récent billet de notre blogue …

    La chère en question, plissant yeux, lèvres et bouche en un sourire non déguisé, lui lança : « mais que vous voilà bien prolixe, mon roi ! Accordez-moi un instant de réflexion, que je puisse peut-être discerner le fond, le pourquoi, l’essence de ce songe … »
    Le couple s’assoupissait, le roi reprenait déjà le chemin d’un autre rêve, empruntant au vol l’une ou l’autre des anciennes destinations ensoleillées de Fil – non, pas la casserole – …
    La reine somnolait légèrement sans toutefois perdre le fil de ses pensées, bref chacun suivait son propre fil …
    En pleine nuit, la quiétude de l’instant fut, d’un seul coup, sans aucun signe annonciateur, rompue par le brusque cri de la reine : « J’ai la solution ! » Prise par son idée, elle tira son époux par le bras, le secoua, l’expulsa de son rêve aux destinations enchanteresses imaginées par Dimey et si bien chantées par Salvador ou Montand … – J’aimerais tant voir Syracuuuuuuse, L'Ile de Pââââques et Kérouan, Et les grands oiseaux qui s'amuuuuusent, A glisser l'aile sous le vent, Voir les jardins de Babyloooone – … Après quelques ronchonnements ponctués de grognements, le roi s’inquiéta … surprenant sa moitié dans un réveil que le sire accuse :

    - que se passe-t-il mon amie, n’entendez vous donc point que je repose … ?
    - Je sais, mon sire, j’ai idée de ce qu’il nous faut entamer en actions propres à revigorer notre gent animale …
    - Mais … ma mie ce n’était qu’un songe !
    - Que nenni, mon Hercule, votre rêverie détenait en son énoncé une réalité indiscutable!
    - En portez-vous la certitude … ?
    - Sans doute aucun ! Ce que vous m’ avez si bien conté de ce songe m’a remis en mémoire quelques incidents, anodins en apparence, mais révélateurs de l’état d’âme de nos sujets animaux … nos bêtes s’ennuient ! Voilà tout ! Il faut les distraire ! les sortir un temps de leur charge animale ! les élever en esprit !!!
    Tout ceci est d’une importance essentielle, mon sire … Notre princesse se doit d’hériter d’une situation première, élevée, digne … Un rang qui puisse l’autoriser à régner en son heure bien au-delà d’une profession pastourelle, d’une position de Chloé pâtre. Il nous faut tout engager afin de maintenir une sérénité animale !
    - … ? ( le roi s’interroge … )
    - Nous allons leur organiser une fête… !
    - … ??? (Le roi s’interroge derechef. Il est un peu inquiet le roi … Il se souvient de l’épisode des moutons sur le lédenez, qui plus est devant témoins iliens et continentaux au programme d’une chaîne numérotée 6, sur ces grands écrans pas très cathodiques… Oui, il est inquiet …
    - Une vraie fête, comme en Molénie, comme en Ouessantie, comme sur les terres continentales, ils appellent ça une fête de la musique et même ils font cela le 21 Juin … Nous sommes le 12, il nous reste neuf jours …
    - NON !
    - SI, Sire !
    - J’ai dit NON ! Avez-vous pensé aux commérages si cela s’éventait ? … Nous serions la risée de toute la mer d’Iroise et des environs ! J’entends d’ici les commentaires : « Cette histoire n’est pas étonnante ! … avec tous ces lapins qui courent en arméries et fougères, les voilà basculés en hase île ! »

    A cet instant du récit, tout peut basculer en un sens ou l’autre, rien n’est joué, l’auteur hésite, va-t-il laisser la reine s’emporter ? ou à l’inverse, l’entraînera-t-il sur un chemin d’enjolage ? ou encore placera-t-il le roi dans une situation de capitulation – honteusement, car un roi n’aime pas bien voir sa puissance ainsi bafouée - ? Pis encore, donnera-t-il au roi les moyens d’imposer, par des moyens de force, sa décision ?
    Le lecteur retient son souffle … Un suspense intolérable lui noue les tripes, car il le sait bien, ce lecteur, que la suite ne peut se situer qu’en deux issues : soit l’île vivra une nuit de chansons, de concerts et de musique, soit un silence lourd de cette absence de sons harmoniques s’imposera par décision du roi.
    Hé oui .. tout dépend maintenant de l’épilogue de cette joute orale et royale … Il le sait, le lecteur… Au fond de lui, le lecteur espère une belle issue … mais il n’a pas la main le lecteur ! L’auteur non plus d’ailleurs, ce sont les parques insulaires qui tiennent les rênes …
    Et là, en cet instant précis, vous les lecteurs blogueurs et moi l’humble auteur blagueur allons être – de concert, puisqu’il est question de musique – témoins d’un événement rarissime, quasi exceptionnel, et même ; il faut bien l’admettre, inespéré : l’une des parques, contre toute attente – il leur est interdit de jouer directement sur le destin des humains, elles ne peuvent qu’en tirer les ficelles – va souffler la solution à cette reine désorientée …

    Ben oui, je sais bien vous êtes frustrés, vous voudriez bien connaître la suite ... patientez un peu, vous saurez tout avant la fin de l'année ...

    Grand Pierre, qui souhaite à tous un noyeux joel ! (vous inquiétez pas c'est le Jack Daniel's)

  • Alors là mon petit Grand Pierre c'est du grand art. Ici au Pigs' Paradise on est tous scotchés. Et en plus il faut attendre pour la suite, comme dans un feuilleton. Mais, dans ta grande culture tu sais que certains écrivains, des plus illustres, se sont pliés à ce genre au siècle avant dernier. Bon, pour le Jack Daniel's je crois franchement que tu devrais arrêter. Je te suggère le Famous Goose. Joyeux Noël.

  • Tu m'as fait peur Grand Pierre j'ai cru que c'était le wisky de Zanzibar !!!

    Joyeux Noël au Roi à la Reine et à la petite Princesse Chloé ainsi qu'à sa cour de galinacés et ovinacés sans oublions le grand Bouffon !!! Mais non les animaux je n'ais pas dit ... Bouffons !!!

    Je vous embrasse. Je me demande qui a mangé toute la tome !!! enfin je veux dire la moitié de la moitié car j'avais partagé !!!
    Mounette

  • Bonjour tout le monde !!
    Soizic, dans le livre de vos aventures quemenessiennes, il faudra faire un chapitre special "blogueurs".. Votre blog recolte de belles pages d'ecriture a ne pas perdre.
    Faut croire que Quemenes ne fait pas pousser que d'excellentes patates mais aussi des elans poetiques aux jolies couleurs...
    Grand Pierre, merci pour ce recit savoureux a lire : on y sentait une pointe de Devos, un soupcon de Prevert, une bonne pincee d'humour, ah et puis Syracuse, Babylone, ahhh, les mots, des mots soigneusement choisis comme on prend plaisir a choisir de beaux/bons produits sur le marche quand on a la recette en tete. Et bien, votre histoire etait aussi bonne a lire qu'une bonne soupe faite maison, quand il fait froid et faim. Fatalement, on veut en reprendre une assiette.. mais je vous laisse le Jack Daniel !!
    Au plaisir donc de lire la suite tantot sur les ondes de "blog-Quemenes" !!

  • Joyeux Noel à vous 3 !
    a bientôt

  • Comme on dit en Bretagne : Nedeleg Laouen !

    et en français Joyeux Noël à vous 3.. kénavo

  • Il est des lieux de retraites atypiques ou se mélange la vie simple mais rude face aux éléments; et l'inspiration, les rêveries que la plume étend sur le papier...
    Quémenes tout comme Ar Men dans les années 1960 ferait partie de ces lieux.
    En effet comme vous pourrez le voir dans ce document le phare Ar Men perdu entre ciel et eau inspira Jean-Pierre Abraham qui devint par la suite un célèbre écrivain mais aussi l'éditeur de la revue du même nom.
    http://www.dailymotion.com/video/xek0bm_ar-men_creation#from=embed
    Ce reportage d'époque il nous le conclu d'une belle citation:
    "L'essentiel n'est pas de réussir dans la vie; mais bien de réussir sa vie!"

    Peut être que dans un demi-siècle verrons nous le blog quéménesien comme ce reportage; monument à la mémoire d'une vie malheureusement révolue, mais aussi témoignage balbutient de la naissance d'un nouvel écrivain.

    Nedeleg Laouen du pays pagan à tous.

  • Un immense merci par votre intermédiaire.
    Nous avons reçu dans notre lyonnais blanc de merveilleuse pommes de terre qui ont enchantées nos familles pour le repas de Noël... Tout cela grace à Grand Pierre qui compte si bien votre belle région et l'histoire de Mona et Lisa ! Alors, par votre intermédiaire nous luis disons "un grand merci grand Pierre pour ce délicieux moment....".
    Bonne journée à tous et très joyeux noel.
    Christine

  • Un joyeux noël et un jour...
    A ceux de Quem' et à ceux du blog...
    Un spécial à Sergio,Grand Pierre,Jacques et Daniel's...

    Enorm Biz'

    Al

  • J'ai essayé la recette des "patates à la façon Quénénès" et c'était divin . Merci pour tous ces bons produits. Bonnes fêtes de fin d'année à la petite famille de Quénénès et à tous les fidèles de ce blog.
    soaz

  • Bonsoir Soaz,
    C'est Grand Pierre qui cause ... il est dubitatif car tu écris Quénénès ... et même deux fois dans ton billet. Et bien sur, ayant l'esprit quelque peu en grivoiserie, je lis "Qué nénés" et là, forcément je me demande si tu ne parle pas de l'île de seins ?
    Allez, ne m'en veux pas, je te présente tous mes vieux pour cette nouvelle année 2011, qui j'en suis certain ne t'apportera que de belles choses !

  • Je me suis absenté pendant une dizaine de jours (sans Internet...) Pendant tout ce temps pas de nouvelles de QUEMENES...et de ses correspondants. Ouf! çà y est ,j'ai lu et relu tous les messages écrits dans la bonne humeur avec de jolis jeux de mots , bravo à tous . Tous mes voeux pour cette nouvelle année qui arrive. A bientôt. Christian

  • Bonsoir,

    Nous vous souhaitons de passer un bon réveillon !

    Thierry

  • Bonne fin d'année et meilleurs voeux pour 2011
    J'espère que vous avez et aurez la PATATE
    Je vous embrasse
    Mounette

  • Et les touristes en extase devant le phare de la Vieille disent : Ah! "Qué mémés" !
    Ah, la Bretagne, quand ça vous gagne...
    Bon, je suis sur mon 31, pour aller bosser ce soir, (il en faut !)
    Meilleurs voeux à tous pour 2011, j'espère passer encore de bons moments sur le blog de Quéménès !
    Brigitte

  • Il n'est pas trop tard pour :
    - souhaiter à tous les habitants de l'Ile une très bonne année 2011 (c'est raté pour Noël...)
    - dire que les patates/saucisses/tome ont été appréciés (et le sont encore, on n'a pas tout mangé d'un coup ;-) )
    BLOAVEZH MAT D'AN HOLL !

  • J'ai raté le Noyeux Joël , je vais pas rater le "A Pinouiller" 2011 ;)
    Voilà , c'est fait : donc , plein de bonnes choses à vous trois , à vos proches et aux bestiaux quéménèsiens , ainsi qu'à tous les blogueurs .
    Spéciale dédicace à Pierre "le Grand" star de toutes les souris (l'autre était le tsar de toutes les russies) , ses 2 potes Daniel et Jack , Johnny le marcheur , sans oublier mon désaltére et...go! , Al (et sa tribu) .

    A bientôt

    Sergio

  • "Bloavez mad ha yehed mad
    joa ha prosperite
    hag ar baradoz e fin ho puhez"

    Traduction de cette expression traditionelle bretonne:

    "Bonne année et bonne santé
    joie et prospérité
    et le paradis à la fin de vos jours"

    Cordialement,

    Ildut.

  • Merci à Grand Pierre pour ses voeux. Eh oui, c'était juste après Noël, j'étais pas trop "étanche" mais ça va mieux. J'ai refait un réveillon par dessus et maintenant, j'écris Quéménès comme il faut. Merci à Grand Pierre pour son humour et sa bonne humeur.
    Bonne Année à vous tous ainsi qu'à Soizic, David et leur petite fille.
    Soaz

  • Big Big Bisous de Nouvelle Année à toute la tribu!

  • Big Big Bisous de Nouvelle Année à toute la tribu!

  • Big Big Bisous de Nouvelle Année à toute la tribu!

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