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poussins

  • Nous avons la patate !

    Les petites poules ont fait leur première sortie sous le soleil vendredi :

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    Mais on les a bien vite remises chez elles, bien au chaud sous leur lampe pour pas qu'elles n'attrapent froid. Du côté de la maison, la peinture de la salle à manger est terminée :
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    Nous avons tout remis en place : les meubles, les cadres, la vaisselle, les livres, et voilà le résultat :
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    Heureusement, nous avons pu compter sur l'aide de Choupette :
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    Et du côté des patates, mon chef mécanicien a réussi à réparer la planteuse. Il a enlevé le maillon cassé, et comme il y avait un peu de mou dans la chaîne, ça fonctionne quand même. Nous avons pu planter 200 Kg hier après-midi :
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    David charge les plants de patate dans la caisse fixée sur la planteuse, et après c'est parti !
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    On roule tout doucement parce que David doit mettre les patates dans les godets de la planteuse
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    Sur la planteuse, il y a d'abord un soc qui ouvre la terre, puis les godets dans lequels Dave a mis les patates descendent et libèrent le plant ; et enfin à l'arrière, il y a deux petites lames qui referment la terre.
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    Les plus observateurs d'entre vous auront sûrement remarqué que nous n'utilisons pas notre vieux massey ferguson, mais un John deere beaucoup plus récent... En effet, la Communauté de Communes de Pays d'Iroise nous a prêté son tracteur pendant l'hiver pour nous aider à avancer plus rapidement sur les travaux des champs. Mais aujourd'hui est un grand jour ! Tout à l'heure la barge de Iroise mer vient nous livrer notre nouveau tracteur ! Ca c'est un grand moment, et nous sommes impatients de le recevoir ! C'est un John Deere aussi mais avec 4 roues motrices pour que l'on puisse plus facilement descendre sur le grève ramasser le goémon nécessaire pour engraisser les champs. Et il y a aussi une surprise sur la barge, mais je ne vous en dit pas plus pour l'instant, je vous montrerai ça plus tard !
    Grosses bises,
    Soizic.
    PS : mes correcteurs sont en vacances alors si vous trouvez des fautes, n'hésitez pas à le dire.

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  • Avis de fort coup de vent n°42

    Je vous le confirme, il est bien là !

    Autant en début de semaine le vent annoncé n'était pas là, mais celui-ci, il ne nous loupe pas ! C'est un temps à écrire des bêtises sur le blogue...

    Et bien évidemment, c'est sous ce magnifique ciel gris, ce vent à décorner un mouton, et ces trombes d'eau que nos brebis ont choisi d'agneler...  Ben oui, quand il ne fait pas beau, c'est plus drôle, n'est-ce pas ? Surtout que l'on en a quand même 4 qui ont mis bas ; 7 agneaux d'un coup ! Et bien sûr, à l'autre bout de l'île... En écrivant ça, je me dis qu'il y en a qui doivent rire quand je dis à l'autre bout de l'île, parce que ce n'est pas bien grand chez nous, mais quand même ; avec 1,3 Km de long sur 400 mètres de large, ça en fait des endroits où se cacher. 

    Allez, une petite anecdote en passant.  Un jour, je pars chercher les moutons pour voir si tout le monde allait bien. Je décide de partir par le Sud, vers l'Est (pour pouvoir regarder la mer)... Et bien ces filous, ils marchaient sur le chemin Nord, et vers l'Ouest ! Je crois qu'ils l'ont fait exprès. J'ai mis plus d'une heure à les trouver. En fait, c'est quand je suis rentrée à la ferme pour prévenir David que je ne les trouvais pas (comme si ils avaient pu s'échapper...), qu'il m'a montré qu'en fait ils étaient juste à l'Ouest de la ferme depuis une bonne demi-heure déjà.

    Bon, revenons à nos moutons. Donc nous voilà partis de bon matin, en ciré et bottes, pour rapatrier tout ce petit monde dans notre tout nouvel enclos.  Dis comme ça, ça parait facile. Déjà, notre enclos, nous avons mis une bonne semaine à l'installer : enlever les ronces, refaire les murets de pierre, creuser des trous pour planter les poteaux, fixer le grillage...  Nous avons fait ça en Janvier, du temps où il faisait presque beau.  Et puis les moutons, nous avons mis plus d'une heure à les ramener. Et quel Bazar ! Il y avait presque un kilomètre à faire pour les ramener jusqu'ici ; alors au début, ça allait à peu près, mais quand les agneaux ont commencé à être fatigués, ils n'avançaient plus. Alors on les a pris dans nos bras pour les aider, mais du coup les mères étaient toutes folles parce qu'elles ne les voyaient plus... Alors il y avait les moutons qui avançaient, les agneaux arrêtés qui appelaient leurs mères, les mères qui couraient dans tous les sens et qui appelaient les agneaux, le vent qui soufflait, la pluie qui tombait, moi qui n'entendait pas ce que David me disait... Bref, c'était sportif ! Et quand nous sommes arrivés à la ferme (parce que l'on y est quand même arrivés), alors que tout le monde allait rentrer dans l'enclos, un des béliers a commencé à sauter partout et est parti en détalant vers l'éléphant (ndlr : c'est un menhir, pas un vrai)... et tout le monde l'a suivi ! Aaaaaargh ! C'est là que l'on a commencé à courir à travers champs pour les devancer et arriver avant eux à l'éléphant, pour faire comme qui dirait « la tenaille » (comme le sergent chef Chaudard dans la septième compagnie). Sauf que David a passé l'extirpateur dans les champs la semaine dernière, et qu'avec toute l'eau qui nous est tombée dessus depuis, c'est plus vraiment des champs, c'est plutôt des marécages... Pour la biodiversité, c'est bien... ça fait un nouveau milieu naturel sur l'île, mais pour courir, c'est moyen. Par contre pour ma ligne, c'est super ! en plus avec le ciré, ça fait combinaison de sudation ! Je suis sur les rotules...

    Enfin, après toutes ces péripéties ils sont tous rentrés dans l'enclos, et tous les petits ont retrouvé leur mère.

    Pour les présentations, voici maman 2, maman 3, maman 4 et maman 5 :

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    Donc au total nous avons 10 agneaux et pour l'instant on est à 3 mâles et 3 femelles ; pour les 4 derniers on ne sait pas encore parce qu'on n'a pas pu les attraper, mais on verra ça quand il fera plus clame.

    Mais on a encore du monde à vous présenter ! 

    Quand on a vu la météo annoncée pour la fin de semaine,  on s'est dit qu'il serait peut être bon d'aller faire quelques courses : des légumes, de la viande, du papier pour l'imprimante, de la peinture pour repeindre John (ndlr : notre tracteur)... Et voilà mon homme parti pour nous ravitailler. A 15 heures, coup de téléphone, il me demande de venir l'aider à décharger le bateau à la cale. J'embarque ma Choupette dans la poussette, et en avant toute pour la cale ! Arrivées à la hauteur du bateau, c'est étrange mais je vois un drôle de petit rictus sur le visage de mon cher et tendre ... Et j'entends des petits « piou piou » sortir de la cabine ! Surprise ! David ramène 15 petites poules, et quand je dis petites, elles sont très petites puisqu'elles n'ont que deux jours ! Et voilà tout ce petit monde :

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    Il y a trois espèces : des « rhodes », des « gris cendré », et des « T831 ». Il faut les garder au chaud le temps qu'elles grandissent et qu'elles fassent des plumes. Nous leur avons donc installé une petite maison dans l'une des écuries :

    La salle à manger :

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    Le salon avec la lampe chauffante :

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    C'est la nouvelle boite de nuit de Quéménès, bientôt on va faire des soirées mousse :

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    Mais on a encore du monde à vous présenter !

    Il n'y avait pas que les poussins dans le bateau, il y avait aussi un gros canard :

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    Oui, parce que Gudule est stérile, alors il ne peut pas faire leur petite affaire aux canes. Et les relations platoniques, ça va un peu, mais ça ne peut pas marcher éternellement.  Du coup, voici Homer (rien à voir avec l'odyssée, c'est parce que son ancienne propriétaire s'appelle Simpson), qui a donc une lourde responsabilité puisque nous comptons sur lui pour nous faire des petits canards (rien à voir avec le café, c'est pour la survie de l'espèce)... Et Homer prend son rôle très au sérieux puisque, à peine avions-nous ouvert sa caisse de transport, qu'il se mettait à l'œuvre sur une de nos petites canes. Bon, Gladys a essayé de fricoter avec lui, mais Homer n'avait pas l'air intéressé. [Nous rappelons à ceux qui ont loupé l'épisode précédent que Gladys est finalement un mâle. Enfin, il est mâle depuis le début, mais nous étions persuadés que c'était une femelle... On a bien pensé l'appeler du coup Gladu, pour faire plus virile, mais on a un copain dont c'est le nom de famille, alors on continue de l'appeler Gladys.]

     Nous avons eu un peu peur qu'entre Gudule et Homer le courant ne passe pas, mais ça a l'air de plutôt bien se passer :

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    Voilà pour les nouvelles de la semaine. Vendredi, c'est le quatrième moisiversaire de Chloé, ba ba ba, comme on dit à Dunkerque ; et dans un mois, on commence la troisième saison des chambres d'hôtes ! Re - ba ba ba !

    Ah oui, avant de raccrocher, merci à tous ceux qui ont écrit du bout du monde pour nous raconter qui se cache derrière les points de la carte, c'est super !

    Et pour répondre à Bénédicte, il n'y a pas d'abeilles sur Quéménès et on ne peut pas en introduire car il y a une espèce endémique à Ouessant qui est protégée : l'abeille noire d'Ouessant, et pour ne pas risquer de contaminer cette souche pure d'abeille noire, nous n'allons pas installer de ruche sur Quéménès.

    Voilà pour aujourd'hui,

    Grosses bises à tous et à bientôt,

    Soizic, David, Chloé, 36 moutons, 2 canards, 3 canes, 24 poules, 3coqs, 2 jars, 2 oies et 2 pintades (sexe non déterminé).

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  • Mais que se passe-t-il sur l’île de Quéménès ?

    Après 31 jours sans nouvelles, faisons un petit tour des habitants de l’île pour voir ce qui s’est passé :

     

    - Chez les moutounoux : c’est la rentrée des classes !

    Première leçon : la découverte de l’estran

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    À marée haute, il n’y a pas grand-chose à voir ! Nous reviendrons à marée basse.

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    « L’éolienne est notre principale source d’énergie entre novembre et février. Elle peut produire jusqu’à 2500 Watts … »

    Ils n’ont pas l’air très concentrés sur la leçon ces petits moutons…

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    «  Ce que l’on aime avec l’éolienne, c’est que l’on peut se gratter dessus… »

     

    - Chez les poules : C’hnord se déguise !

    Notre petite cocotte C’hnord est en train de muer, elle perd ses belles plumes d’été pour préparer ses plumes d’hiver. Ce n’est pas une période très drôle pour notre cocotte d’habitude toujours si soignée ; sans son joli croupion, elle fait bien triste. Alors pour égayer tout ça, notre cocotte se déguise :

    Le 28 août :

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    Le 13 septembre :

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    - Chez les canards : Skip apprend à voler !

    Skip, le canard plus blanc que blanc, s’entraîne beaucoup au vol ces derniers temps, et il y arrive de mieux en mieux… hier, par exemple, il s’est envolé du fond de la cour et a réussi à parcourir une bonne vingtaine de mètre à 5 mètres du sol. L’inconvénient, c’est qu’il n’a pas encore suivi le cours sur les courants ascendants … et s’est retrouvé perché sur le toit de l’écurie !

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    - Chez les poussins : on passe en classe supérieure !

    Parmi nos poussins de l’année, il y a un jeune coq. Et pour la première fois vendredi à 16h17, il a poussé la chansonnette. Bon, je n’avais rien pour enregistrer le son alors je ne pourrai pas vous le faire écouter, mais il y a encore un peu de travail avant d’arriver au « cocorico ».

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    Donc maintenant, nous avons trois coqs pour nous réveiller le matin ; plus aucune excuse pour arriver en retard au travail !

     

    - Chez les humains : on répare la cale !

    A la tempête de Mars 2008, notre cale avait été abîmée par la houle. Le chantier pour sa réparation a commencé le 1 septembre par l’arrivée du matériel sur la barge d’Iroise mer.

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    Pelleteuses, bétonneuses, sable, béton… Tout arrive par la barge.

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    Lundi 7, c’est le dernier voyage de la barge avec l’eau nécessaire à la fabrication du béton. C’est partit pour plus d’un mois de chantier !

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  • Quelques autres nouvelles

    - A la pointe Est de l'île, nous avons des arbres à escargots.

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    -  La chrysalide de nos toilettes ne s'est pas encore ouverte.

    - Maman poule a perdu ses deux petits; l'un a disparu au cours d'une promenade (attaqué par un oiseau?), l'autre a été soudainement très fatigué et n'a pas passé la nuit.

    - Cette semaine, le journal de 13h de TF1 propose une série sur les îles habitées par une seule personne. Nous passerons normalement dans cette série Vendredi, mais comme le tournage a été effectué il y a un peu plus d'un mois, vous ne verrez pas mon gros bidon ...

    Profitez bien de la pluie,

    Bises à tous,

    Soizic, David et Truc.

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  • Des nouveaux dans la basse-cour

    La basse cours s'agrandit grâce aux naissances et aux voyages de David sur le continent ...

    Jean-Marie nous avait fait parvenir des œufs de poules de Marans que nous avons faits couver par l'une de nos poules et qui ont donné cette semaine deux petits poussins :

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    Et lors de ses dernières courses sur le continent, David a ramené dans son panier :

    Deux petites pintades, ici en photo avec celle que nous avions déjà et qui depuis l'arrivée de ces nouvelles congénères et beaucoup moins craintive :

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    Un petit canard de Barbarie pour remplacer celui qui s'était fait attaquer par un goéland, ce qui nous fait trois petits canards :

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    Et pour finir, une petite oie que nous avons appelée Gladys :

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    Mais dans la basse-cour, il y a depuis hier le côté « Fun », et puis l'autre côté (référence au dessin animé Madagascar des studios Pixar). Nous avons un tuyau d'arrosage qui va du puits à la serre pour arroser les choux, les radis, les salades, les tomates, les courgettes, les poivrons, le persil et tout et tout, et figurez-vous que nos oies adultes ont une peur bleue du tuyau. Ce matin, David a distribué un peu de pain à gauche du tuyau, et bien tout le monde est passé par-dessus sauf nos trois oies !

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  • Une histoire à en perturber une Maman Poule…

    Maman Poule s’est couchée vendredi soir avec ses trois petits poussins, deux noirs et un jaune, et voilà que Samedi, elle se réveille avec quatre jaunes et deux noirs …

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    Ca ne va pas du tout du tout !

    D’autant qu’ils sont un peu collants les nouveaux et qu’ils la suivent partout !

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    Mais tout va bien, Maman Poule a finalement accepté qu’ils restent tous avec elle et maintenant tout le monde dort ensemble dans l’écurie.

    Les trois nouveaux, ce sont trois cannetons de barbarie que David a ramenés vendredi du continent (laissez votre homme faire les courses tout seul, et voilà le résultat !). Nos trois nouveaux compagnons ont eu un temps magnifique pour leur première journée sur l’île, et je crois qu’ils ont attrapé un coup de soleil sur le bec.

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  • Réouverture du club piou piou de Quéménès

    Avec les beau jours, les hirondelles reviennent et les cigognes aussi !

    Non Al, nous n'avons pas vu de cigognes...

    Mais oh surprise, piaillement et cocotte en folie, nous avons découvert deux petits poussins dans le poulailler. Nous avons donc rapatrié maman poule et ses petits dans un endroit plus approprié (à savoir notre future, presque pas encore tout à fait salle d'eau que j'aurais bientôt terminée...) pour qu'ils aient plus de chances de survie. Parce que dans le poulailler, c'est un peu l'hôtel des courants d'airs, et comme Maman poule a couvé en hauteur, nos petits auraient eu du mal à aller se nourrir.

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    Et sur le chemin, un troisième petit a pointé le bout de son bec ;

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    quelques heures plus tard, il était enfin sorti.

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    Longue vie à vous les petits !

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  • - 1 + 3 = + 2

    Heureusement que notre Paulette est là pour rééquilibrer les statistiques démographiques de l'île.

    Après plus de trois semaines de patience, notre petite Paulette a vu sa mission se terminer. Sur ses 20 oeufs jalousement couvés, 11 oeufs ont éclos mais seulement 3 poussins ont survécu, 9 ne sont jamais arrivés à terme.

    Ce matin, ça a été leur première grande sortie, et nos petits goûtent déjà aux joies du cloporte gentiement mis à jour par maman paulette.

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  • la famille s'agrandit

    Il y a quatre poussins dans le nid de paulette ce matin. Malheureusement, il y en a un qui n'a pas survécu.

    To be continued...

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  • Bravo Paulette !

    Les petits de Paulette commencent à sortir !

    Après 23 jours de patience, trois oeufs ont éclos hier mais un seul petit poussin a alors survécu à cette aventure. Alors ce matin, nous sommes vite allés voir si d'autres étaient sortis, et il y a un deuxième poussin :

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    Bienvenue à nos deux nouveaux compagnons.
    Courage ma paulette, il reste encore quinze oeufs à couver ...

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