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Ami Parisien, tu as la patate ?

Parce que si tu n’as pas la frite (oh oh oh, elle est bien bonne celle-là !), tu as désormais deux lieux pour te permettre de t’approvisionner en (délicieuses) pommes de terre de Quéménès :

Tu peux aller à l’épicerie Chemins de Bretagne, rue de Prague dans le 12ème arrondissement,  rencontrer Ralph et Marianne. Ils sont tous les deux venus séjourner à Quéménès, alors autant dire que vous allez avoir de quoi papoter en dégustant toutes les délicieuses spécialités que Ralph ramène de ses voyages Bretons ! D’ailleurs tu pourras aussi y trouver les saucisses fumées aux algues de Quéménès de l’atelier des Fumaisons d’Iroise… Regarde, les petites patates sont déjà là :

chemins de bretagne.jpeg

 http://www.chemins-de-bretagne.com/

Tu peux aussi aller à la Grande Epicerie de Paris, rue de Sèvres dans le 7ème arrondissement. Je n’ai pas de photos à te montrer, parce que c’est pas demain qu’on ira mettre les pieds à Paris, mais si tu les vois et que tu peux les prendre en photo, nous serions très heureux de voir comment elles sont installées ! Et tu leur diras bien qu’on pense beaucoup à elles, et qu’on leur envoie des grosses bises (et alors si tu arrives à les prendre en photo pendant que tu leur fais un bisou sans te faire arrêter par le vigil, je t’envoie un cadeau !)

Voilà de quoi mettre un peu d’air du large dans ta cuisine !

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Commentaires

  • La Grande Epicerie ??? C'est super ça ! Je note !! En plus mes bureaux vont déménager juste à côté d'ici Décembre, j'irai faire un coucou à vos patates ;)

  • Un bisou, un bisou !
    (et une photo du bisou...)

  • Ca y'est, je les ai repéré ! Perchées comme une pyramide en haut d'un meuble en zinc, sous la pancarte "Nos producteurs", comme si Quéménès appartenait au Bon Marché... Dans le quartier huppé du 7ème arrondissement de Paris, au milieu de patates douces d'Israël, de poivrons de Belgique, d'aubergines rondes d'Italie, elles sont là les pommes de terre amoureusement nourries au goémon et récoltées à la main.Problème, impossible de s'emparer d'un sac en tendant le bras, sauf à faire plus d'1m70 ! Quant à leur donner un bisou tout en prenant la photo, il faudra d'abord que je fasse un stage au Cirque du Soleil... Mais alors là où ce ne va pas, et que la Grande Epicerie mérite un rappel à l'ordre, c'est que contrairement aux autres produits les patates de Quéménès n'ont pas le droit à leur étiquette du magasin. Du coup pas de prix au kilo affiché, et il faut, si on y arrive..., retourner l'étiquette du sac pour voir son prix de 29,90 euros. Dur, dur la vie de patates à Paris !
    J'envoie les photos par ailleurs.

  • Je crois qu'un stage au cirque du soleil serait une excellente idée, je suis sûre que les filles seront d'accord avec moi !
    Pour l'étiquette tu as raison, je vais voir ce que je peux faire.
    Merci en tout cas d'être allé voir,
    Grosses bises à toute la famille,

  • Eh bien, moi aussi j'ai trainé mes guêtres à la Grande Epicerie dont je suis un fidèle client lors de mes virées parisiennes. Et comme ceux qui me connaissent savent que je dépasse allègrement les 1m70, j'ai pu m'emparer d'un sac, le descendre et lui faire un bisou ... Malheureusement le gentil vendeur tunisien qui porte le doux nom de M. Manobi tremblait un peu en prenant l'image. Du coup je l'ai pris en photo avec un sac de belles patates dont je confirme le prix. Ces patates valent de l'or ! Un vigile est venu me rappeler qu'il était interdit de prendre des photographies ... je lui ai narré la véritable histoire de Bergamote en l'île, il en avait (l'alarme) la larme à l'oeil et m'a gentiment laissé oeuvrer quelques minutes !
    Comme M. Boudet j'envoie les photos par ailleurs

  • Bravo Grand Pierre, je te savais digne de cette (périlleuse) mission !
    Bises,

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