J'ai acheté un nouvel objectif pour mon appareil de photos : Un 55-200mm de chez Nikon. J'avais cassé mon 18-200 Tamron l'an dernier dans une mémorable chute. Enfin, surtout mémorable pour mon fessieren fait. Comme quoi, se casser majestueusement (oui, mon second objectif est de devenir la reine des patates) la binette peut avoir certains avantages.
Voilà mes premières photos :
Dave en train de réparer l'hydraulique de la récolteuse de patates. C'est dans ces moments là que je suis bien contente de ne pas être Dave, parce que, certes, la comptabilité c'est bien moins rigolo, mais au moins, je ne pue pas le gazole et l'huile toute la journée.
Les mouts. Une année comme celle-ci je n'aimerais pas non plus être un mout : le tondeur n'a toujours pas pu venir à cause de la pluie ; tant que la laine sera mouillée, il ne pourra pas les tondre. A vrai dire, je n'aimerais pas non plus être un brin d'herbe sur le chemin des mouts.
Ni sur le chemin des oisons.
Commentaires
Par ici on a la tonte en version bovine, ça marche pas mal aussi, cf post du jour de mon blog. Par contre Nikon a l'air d'avoir une interprétation différente du vert de Quéménès et de celui de Rennes. Peut-être simplement un réglage différent de la balance des blancs (j'ai opté pour "nuageux"...)?
Bref, espérons que malgré tout il y aura des patates (et je crains un peu aussi pour les céréales, celles que je croise sur mon vélotaf font -littéralement- grise mine).
En fait moi et les mouts nous avons le même problème, nos cheveux n'aiment pas l'humidité, par contre eux ils frisent, moi ils pendouillent.
Cette année l'herbe n'est pas grillée chez vous non plus. J'veux du soleil....................
ici tout est grillé ....genre mouts rotis et canards laqués !!^^